• Le vieux Monsieur a 200 ans.

    Giuseppe Fortunino Francesco Verdi est un compositeur romantique italien, né le 10 octobre 1813 à Roncole et mort le 27 janvier 1901 à Milan. Son œuvre, composée essentiellement d’opéras, unissant le pouvoir mélodique à la profondeur psychologique et légendaire, est une des plus importantes de toute l'histoire du théâtre musical.

    Roncole Verdi[1], est un hameau (« frazione ») situé à faible distance de la ville de Busseto, dans la province de Parme en Italie. La localité doit sa notoriété au fait d’être le lieu de naissance du compositeur Giuseppe Verdi. Un autre grand représentant de la Bassa parmense, l'écrivain Giovannino Guareschi, est enterré dans son cimetière.

    Le long de la route provinciale qui, du hameau conduit à l'agglomération voisine de Soragna on peut voir la maison natale de Verdi. À quelque distance de là se trouve l'église dédiée à Saint Michel Archange à l'intérieur de laquelle est conservé l'orgue sur lequel, jeune garçon, Peppino a pu jouer ses premières notes sous la férule de don Pietro Baistrocchi, le prêtre qui fut son premier professeur de musique.

    À cette époque, Roncole (alors Roncole di Busseto ou, plus simplement, Le Roncole), faisait partie du territoire d'occupation française, séparé du duché de Parme, Piacenza et Guastalla, le département du Taro (du nom de la rivière qui descend de l'Apennin pour se jeter dans le Pô), annexé par la suite au royaume d'Italie.

    .....  Aux Roncole, une plaque commémorative rappelle un tumultueux épisode survenu quand Verdi n'avait pas encore deux ans. En 1814, les « hordes sanguinaires de Russie et d'Autriche », en alliance avec Joachim Murat, accomplirent des razzias dans les campagnes alentour. Luigia Verdi s'apercevant que l'ennemi était désormais aux portes du village, attrapa son petit et trouva refuge dans le clocher de l'église paroissiale de San Michele, proche de la maison-auberge. La plaque souvenir rappelle aujourd'hui comment Luigia Verdi « sauva son petit Peppino », conservant « à l'art un archange sublime », « à l'heureuse libération de l'Italie un barde puissant » et aux Roncole « une gloire éclatante assurée ».

     

     

    Le “Rigoletto” de Verdi enchante Aix

    (Opéra en 3 actes d'après 'LE ROI S'AMUSE' de VICTOR HUGO)

    Festivals d'été 2013 | Dans une mise en scène magistrale, Robert Carsen transpose “Rigoletto” dans le monde impitoyable du cirque. Une ouverture très réussie pour le festival d'Art lyrique d'Aix-en-Provence.

    Article ICI

     

     Rigoletto (George Gagnidze) dans une mise en scène de...

     

     

    Et si tu as un peu plus de deux heures devant toi, c'est comme si tu y étais

     http://liveweb.arte.tv/fr/video/Rigoletto_Festival_Aix_en_Provence_Verdi/

     

     

    « Viva Verdi!Rigoletto, c'est de qui, déjà ? »
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  • Commentaires

    1
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 23:01
    marenostrum

    Remarquable en effet! Le coté tragique du cirque et du clown blanc...une belle idée!! Et le Duc était vraiment un homme à femmes!!

    Bravo comme on dit chez les ritals!

    2
    Vendredi 11 Octobre 2013 à 01:33

    Je viens de rajouter le lien de l'intégrale . C'est fort en questionnements ! démesuré ? caricatural ? cru et cruel .....

    Peut-on s'ériger en censeurs ?

    Combien pouvons nous être beaux et laids à la fois !

    Brava.

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