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    Monique MORELLI, 

    née Monique Dubois à Béthune, le 19 décembre 1923 et morte à Montmartre, le 27 avril 1993, est une chanteuse française, dont le répertoire d'inspiration réaliste à ses débuts est devenu une anthologie de la chanson poétique.

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  • C'est chouet les copines virtuelles, j'adore ! Tu me permets Jacqueline ?

    clic !

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  • Pour toi Françoise, un peu de musique sacrée du grand Galuppi dont le petit nom est Baldassare!!

     

     

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  • Christine Sèvres, nom de scène de Jacqueline Christine Boissonnet, est une chanteuse française née le 25 mars 1931 à Paris et morte d'un cancer le 1er novembre 1981 (à 50 ans) à Marseille.....

    [....] 

    À l'âge de 25 ans, en 1956, elle rencontre Jean Ferrat, l'auteur-compositeur-interprète débutant, qui lui offre quelques-unes de ses chansons et lui en compose d'exclusives sur mesure : de magnifiques nouvelles chansons d'amour, telle Tu es venu.

    Elle, qui voulait être comédienne, deviendra surtout chanteuse. De 1956 à 1960, elle se produit :

    • comme chanteuse dans les cabarets : Club du Vieux-Colombier, L'Échelle de Jacob, Milord l'Arsouille, L'Écluse, La Colombe…
    • comme comédienne de théâtre dans Cromwell de Victor Hugo, La Locandiera de Carlo Goldoni, La Cerisaie d'Anton Tchekhov…
    • elle enregistre des contes pour la radio.

    Elle épouse Jean Ferrat, fin 1960, après une cohabitation de 3 ans.

     

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  • Notre amie MELLOFAROH en parle avec émotion :

    ICI

    Gérard GORSE, sur son site de la CHANSON REBELLE en parle avec conviction :

    ICI

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  • Article paru sur Incertitudes

     

    Françoise nous appelle à parler de nous, nous les femmes libérées! Mais oui nous le sommes...et comment!!!

    Mais ce ce n'est pas le cas partout comme vous le savez. Alors en fouillant sur Internet j'ai trouvé ce lien de l'ONU et cette chanson qui est un pieux désir pour toutes les femmes du monde.

    Oserais-je dire "Tant qu'il y aura des hommes"...ça risque d'etre difficile mais la liberté se conçoit surtout par la connaissance.

    Et toc!

     

     

     cliquez ici pour en savoir un peu plus

    Chanson " One Woman " d'ONU Femmes lancée lors de la Journée internationale de la femme !

     

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  • baldassareGaluppi

    De son vivant, Baldassare Galuppi IL BURANELLO fut un compositeur extraordinairement populaire d'opéras sérieux et comiques mais aussi d'œuvres sacrées et de musique pour clavier.

    Tout sur Galluppi ? Voir ICI

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  • Bon et bien voilà, je me suis décidée...Pour notre Marmotte et toutes les femmes, à commencer par les toutes jeunes filles, pour leur liberté.

    Le choix fut très difficile,et après avoir pensé à Colette magny, j'ai opté pour Angelique Kidjo et son combat pour son pays et pour que les jeunes filles de son pays soient scolarisées. Parce que la liberté des femmes commence par là...le droit d'apprendre, de savoir, et de pouvoir se faire entendre. 
    Une chanteuse pour qui j'ai une grande admiration.

    -reprise (partielle) d'un article publié sur Meloandco

    Angelique Kidjo

    Arouna (album DjinDjin)

    Née au Benin dans le berceau du vodoun ( culte qui a inspiré bon nombre de ses chansons), Angélique Kidjo est parmi les plus jeunes artistes africaines à connaitre véritablement une carrièrre internationale...

    Installée à New York depuis 1997, la chanteuse béninoise, après avoir réalisé une trilogie sur la route des esclaves africains, continue son combat en musique pour la reconnaissance de l'Afrique (ICI, concert live pour le prix nobel de la paix-2011).

    Ambassadrice internationale du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), la chanteuse béninoise Angélique Kidjo plaide pour la scolarisation des filles au Bénin et leur maintien à l’école..

    -"Je suis fière d’être béninoise, mais ma fierté ne sera complète que lorsque toutes les filles seront scolarisées. Nous sommes pauvres parce que nous n’envoyons pas nos enfants à l’école".

    Elle souligne que la scolarisation des filles n’est pas seulement l’affaire des partenaires au développement et du gouvernement béninois : "C’est d’abord et avant tout l’affaire des parents et des communautés qui doivent fortement s’y impliquer afin que le Bénin puisse compter sur tous ses enfants pour se développer"...

     

                             "noooooo jamais, noooooo jamais noooooo jamais, ne cedez jamais!"                         

        

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  • Femme libre, libérée. Rêve plus que réalité. Les choses et les temps ne changent pas facilement dans ce domaine.

    Les droits de la femme ! Allons donc !
    La faridondain', la faridondon,
    Les droits de l'homme ça suffit,...

    C'est avec cette chanson que j'avais commencé mon billet pour la présidente éphémère, "La Vieille Marmotte" mais en lisant sa demande  me voilà obligée de trouver autre chose.

    « Lorsque tous les peuples s'agitent au nom de Liberté, et que le prolétaire réclame son affranchissement, nous, femmes, resterons-nous passives devant ce grand mouvement d'émancipation sociale qui s'opère sous nos yeux. Notre sort est-il tellement heureux, que nous n'ayons rien aussi à réclamer ? La femme, jusqu'à présent, a été exploitée, tyrannisée. Cette tyrannie, cette exploitation, doit cesser. Nous naissons libres comme l'homme, et la moitié du genre humain ne peut être, sans injustice, asservie à l'autre. Comprenons donc nos droits; comprenons notre puissance; nous avons la puissance attractive, pouvoir des charmes, arme irrésistible, sachons l'employer. Refusons pour époux tout homme qui n'est pas assez généreux pour consentir à partager son pouvoir ; nous ne voulons plus de cette formule, Femmes, soyez soumise à votre mari ! Nous voulons le mariage selon l'égalité... Plutôt le célibat que l'esclavage ! (...) Jeanne-Victoire.

    Jeanne-Victoire Deroin, une ouvrière lingère devenue institutrice, a écrit cet article dans un prospectus, titré La Femme Libre, première parution le 15 août 1832 : originalité de cette publication rédigée et publiée par des femmes qui ne signent que de leurs prénoms. Libres d'écrire et de dire ? Pas vraiment puisqu'elles craignent sans aucun doute les représailles des hommes, dirigeants de la classe politique et chefs des classes sociales (le pater familias avait tous les droits, même s'il oubliait les devoirs qui vont avec ces droits). Être une femme libre n'est pas facile.

    Vous souvenez-vous de ce titre ? Femme libérée, Cookie Dingler

     

     

    "Être une femme" libre ? Michel Sardou évoque de façon satirique les femmes des années 1980, le début de la liberté d'après certains ; personnellement j'ai comme un doute.  Femmes des années 80, dans cette chanson,  Sardou évoque l'évolution de la condition féminine avec cette idée qui consiste à renier toute féminité pour servir la cause des femmes («Enceinte jusqu'au fond des yeux, qu'on a envie d'appeler monsieur, En robe du soir, à talons plats, Qu'on voudrait bien appeler papa… »), l'hyper sexualisation du "look" féminin, façon P... comme disait Serge Reggiani («Femme des années 80, mais femme jusqu'au bout des seins […]  qu'on aime bien sans soutien-gorge… »). En 2010, le chanteur revisite la chanson et il ne reste du texte original que le premier couplet et le refrain. Il tire un bilan de la parité entre les sexes : Être une femme 2010, «Depuis les années 80 / Les femmes sont des hommes à temps plein / Fini les revendications / C'qu'elles ont voulu maint'nant elles l'ont ». Sardou se dit qu'au final les femmes ont plus perdu que gagné : «Elles rentrent épuisées tous les soirs […] Quant à l'amour elles n'y pensent plus / Juste un amant qu'elles n'revoient plus […].


     

    A l'opposé des femmes qui se veulent libres, il y a celles qui s'enferment (de gré ou de force) et se cachent derrière des chiffons : le voile, la burqah, etc. "La femme grillagée" de Pierre Perret dérange, elle est pourtant là. Est-ce pour narguer avec ses compagnons notre civilisation à la dérive ?

     

    Elle ne prend jamais la parole
    En public, ce n'est pas son rôle
    Elle est craintive, elle est soumise... Tout le contraire de la femme libre !

    Alors revenons aux chansons de femmes libres : je pense à des chanteuses comme Colette Magny, Pia Colombo, Francesca Solleville, Jeanne Cherhal, Juliette, pas Gréco, l'autre, plus jeune, Juliette tout court. Il y en a tant maintenant.

    Je ne sais pourquoi la femme libre me fait penser à Moulinex et à Boris Vian.

    Moulinex libère la femme” lisait-on sur des affiches dans les années 60. L'entreprise Moulinex a été longtemps le principal fabricant d’ustensiles électroménagers comme le robot-mixeur ou l’aspirateur. Vous souvenez-vous que les Françaises n’ont obtenu le droit de vote qu’en 1944 et que jusqu’en 1965, elles devaient obtenir l’autorisation de leur mari pour exercer un emploi ? Le slogan de Moulinex colle aux idées des femmes qui en ont assez de passer leur vie à faire le ménage ou la cuisine ; les appareils électroménagers permettent d’accomplir les tâches ménagères plus rapidement et donc d’avoir plus de temps libre pour (dans l'idéal) étudier, se former et réclamer encore plus de droits.

     

     

    C'est beau de rêver. C'est être libre, non ?

    La dernière aliénation pour les femmes, une fois qu’elles ont pu rompre avec un milieu familial et social contraignant, reste l’amour. Et comme le chantait ma grand-mère "Plaisir d'amour ne dure qu'un instant, chagrin d'amour dure toute la vie"... Sniff...

     

    On n'est plus dans le sujet ? Vous croyez... Et bien, pas moi, je crois qu'on y est encore et de toutes façons, j'aime suivre mes pensées, sans entrave ; être libre de penser comme j'en ai envie. Être une femme libre n'est pas chose aisée, ça c'est sûr !

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